Robâiyât (Quatrains)

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Je suis né du sperme du néant.
Mon âme s’est épurée dans le creuset du chagrin.
Perplexe, je fais le tour du monde, pareil au vent
Ne sachant où l’on a pris ma poussière.

Omar Khayyâm (1021-1132)
Traduit du persan par Hassan Rezvanian

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6 réponses à Robâiyât (Quatrains)

  1. lou dit :

     
    On se rapproche du Kāmasūtra… où allons-nous ?
     

    • yueyin dit :

      Tu es sûr que tu ne te trompes pas de région du monde ???? Je n’avais pas songé à des poèmes Hindous, en fait je n’en connais pas, quelle ignorance !!!!

  2. gambadou dit :

    bien beau poème à méditer …

  3. Marie dit :

    Un très beau poème… mais à ne pas lire lors d’une journée de cafard !!!

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