Evidemment le titre est un clin d’oeil à Sex & the city et il se trouve que j’apprécie cette série réjouissante (beaucoup plus que les chroniques d’origine de Candace Bushnell qui sont nettement moins drôles), alors un livre drôle et pétillant pourquoi pas ?
Finalement il y a bien eu des moments drôles dans cette lecture mais aussi à boire et à manger si j’ose dire. Le livre se présente à la fois comme une minibio romancée de l’auteure, autosurnommée reine des larguée, et comme un manuel de survie à l’usage des filles larguées… Bon !
Pour le côté fictionel, je dirai que cela fonctionne, c’est enlevé, parfois drôle, et même si j’ai personnellement l’impression que cela se passe sur une autre planète, voisine de la planète chick-lit, où de “plus ou moins” célibataires habillés chic s’imbibent toutes les semaines dans des soirées hyper branchée, pourquoi pas ? Nous croisons dans les eaux de la série précitée. Pour la partie manuel c’est tout et n’importe quoi depuis des conseils hilarants (au 36e degrés j’ai peine à croire que des adultes même très jeunes puissent tenir de tels propos à peine niveau préado à mon sens mais passons), jusqu’à des simili bios de grandes larguées de l’histoire de Didon à Madame Butterfly en passant par Jenifer Aniston et Buffy, voire une sélection de chansons de rupture avec mode d’emploi (je cite), enfin un peu de tout… Dans l’ensemble c’est léger, très très leger, plutôt limite même. L’auteure est journaliste pour l’édition anglaise de Elle et son livre rappelle d’assez près le style des journaux dits féminins… sur 250 pages. Disons que de (très) grands amateurs de chick lit et de magazines féminins peuvent s’en faire une lecture légère pour la plage.
Finalement il y a bien eu des moments drôles dans cette lecture mais aussi à boire et à manger si j’ose dire. Le livre se présente à la fois comme une minibio romancée de l’auteure, autosurnommée reine des larguée, et comme un manuel de survie à l’usage des filles larguées… Bon !
Pour le côté fictionel, je dirai que cela fonctionne, c’est enlevé, parfois drôle, et même si j’ai personnellement l’impression que cela se passe sur une autre planète, voisine de la planète chick-lit, où de “plus ou moins” célibataires habillés chic s’imbibent toutes les semaines dans des soirées hyper branchée, pourquoi pas ? Nous croisons dans les eaux de la série précitée. Pour la partie manuel c’est tout et n’importe quoi depuis des conseils hilarants (au 36e degrés j’ai peine à croire que des adultes même très jeunes puissent tenir de tels propos à peine niveau préado à mon sens mais passons), jusqu’à des simili bios de grandes larguées de l’histoire de Didon à Madame Butterfly en passant par Jenifer Aniston et Buffy, voire une sélection de chansons de rupture avec mode d’emploi (je cite), enfin un peu de tout… Dans l’ensemble c’est léger, très très leger, plutôt limite même. L’auteure est journaliste pour l’édition anglaise de Elle et son livre rappelle d’assez près le style des journaux dits féminins… sur 250 pages. Disons que de (très) grands amateurs de chick lit et de magazines féminins peuvent s’en faire une lecture légère pour la plage.
Ex & the city – Alexandra Heminsley – 2007 – Belfond 1000 comédies 2009 – Traduit de l’anglais par Jennifer Boulard
Merci comme toujours à Suzanne et pour cette découverte
Arf ! Rien que la couverture et je suis pris de nausée (et pourtant j’adore Sex & The City… mais dieu sait que cette fabuleuse – et bien plus profonde et transgressive que de la chick-litt – série a influencé des cochonneries sans nom…)
(je reformule : en fait, cette série est géniale… mais j’ai remarqué qu’en général, toute référence à elle, qu’il s’agisse du titre, de la couv’, de l’histoire… annonçait très souvent une daube ^^)
Hihi le coup du coeur réparé au pansement autocollant c’est space hein :-))) en fait non seulement la série a influencé un tas de cochonneries mais comme j’y fais allusion dans le bilelt, les chroniques dont est tirée la série sont elle aussi vraiment moins bonnes, pas drôles et je ne sais pas… nauséause tiens :-))))
“Sinon j’ai lu trois romans en anglais d’affilé, incredible isn’it ? chuis fière !”
You can !!!
“pfff jeudi 36°, vendredi 16°, samedi 26° tout cela ne me semble pas bien normal…“,
Tu as raison, c’est pas normal est très chiant. Mince, c’est l’été, on veut avoir chaud !!!
Bon puisque le tps nous nargue rendez-vous demain au ciné !!!
ben t’étais où pendant le ciné hein ?
Sans rapport avec le billet… les trois livres en anglais, c’est ceux que je pense??? Et puis??
Mais oui ce sont bien ceux là – encore merci !!! – j’ai viré rangerfan je crois rrrrhhhhh !!!!! bon question vocabulaire j’ai eu de petits soucis mais rien qui m’empêche de comprendre l’essentiel ni de rigoler…
Ouhh que ça me donne enviiie !
…
;-))
J’en étais sure Erzie, je te le garde au chaud celui-là 😀
Entièrement de l’avis de Thom :
mais j’ai remarqué qu’en général, toute référence à elle, qu’il s’agisse du titre, de la couv’, de l’histoire… annonçait très souvent une daube.
malheureusement j’ai bien peur d’être d’accord aussi :-))
Bon, ce livre ne m’intéresse absolument pas, mais par contre, je découvre que tu es en train de lire un nouveau PD James !!!!!! Depuis le temps que j’attends, je ne savais même pas qu’il était sorti ! Bon, bon dimanche avec PD !
oui je l’ai commencé, je te le prête après si tu veux… je suis une grande fan de Phyllis Dorothea 😉
je passe …
vraiment ? so strange !!! 😀
Suis preneuse lors de la prochaine rencontre du club toulousain ! Merci !
Pendant un bref instant j’ai pensé que tu parlais de Ex & the city :-)))) je te garde le pd james 😉
je passe aussi…
hop !!!
Je me suis portée volontaire aussi, espérant sans doute à cause de l’analogie du titre retrouver le côté pétillant de Sex and the City … avec une petite voix intérieure qui me répétait qu’un auteur qui ne fait pas l’effort de trouver ses propres titres et parasite des titres existants c’est plutôt mauvais signe … je me suis aussitôt taxée de mauvais esprit :-), et, l’auteure étant journaliste je me suis dit qu’elle aurait des témoignages intéressant à raconter .. pour l’instant ce livre sommeille sur ma table de chevet.
Bon ben tu me diras quand tu l’auras lu 😀
PS : rien à voir mais j’aime beaucoup PD James.
toi aussi :-))) pour l’instant c’est drolement bien 🙂
J’ai l’impression que, ce qu’il y a de mieux dans cette lecture, c’est…ton billet !!! Mouarf !!!
Je passe donc, moi aussi…Bonne soirée, Yueyin, à bientôt !
merci Turquoise, tu es bien aimable… avec moi 🙂 bisous
Tout à fait d’accord sur Sex & the City : j’aime beaucoup la série et j’ai carrément détesté (et arrêté) le livre d’origine!!! Remarque, les premiers épisodes de la série, avec interviews dans la rue et dans les lieux publics ne m’avaient pas non plus emballée
Je ne me rappelle pas trop les premiers épisodes, heureusement semble-t-il 🙂
Bon je passe aussi, j’ai noté plein d’autres titres “légers” qui m’ont quand même l’air un peu plus drôles et subtils.
il y a beaucoup plus drôle en matière de lectures légères… tu connais janet Evanovitch ????
Je connais… seulement de nom !
Je n’ai pas encore lu un de ses romans mais à force de lire des articles élogieux sur la blogosphère, je vais bien finir par céder !!!
pendant un moment j’ai cru que tu parlais de Ex & the city… tu parles de Janet Evanovitch ouffff c’est excellent je te le conseille, dans la veine légère qui met de bonne humeur 🙂