Le ciel nocturne et bas s’éblouit de la ville
Et mon cœur bat d’amour à l’unisson des vies
Qui animent la ville au-dessous des grands cieux
Et l’allument le soir sans étonner nos yeux
Les rues ont ébloui le ciel de leurs lumières
Et l’esprit éternel n’est que par la matière
Et l’amour est humain et ne vit qu’en nos vies
L’amour cet éternel qui meurt inassouvi
Guillaume Apollinaire (1880 – 1918)
Quand je pense que je ne connais ni Beaudelaire, ni Verlaine.
Voir mon commentaire précédent …La honte !
Ah c’est dommage, Baudelaire et Verlaine c’est bien :-)))) mais je découvre tout le temps de nouveaux poètes (c’est d’ailleurs pour cela que je continue les dimanches poétiques…) en fait j’en connaissais vraiment très peu je trouve 🙂
j’aime !
tout simplement.
tout ce qu’il a écrit !
C’est que… c’est l’Appolinaire 🙂
j’aime ce poème citadin qui illumine la nuit d’une facette nouvelle
C’est tout à fait cela… une ville la nuit 🙂
magnifique
voilà, c’est cela même Gambadou 🙂
C’est si beau …
oui vraiment…