Spéciale dédicace à Bluegrey en ce frais dimanche de décembre…
– Ne touchez pas l’épaule
Du cavalier qui passe,
Il se retournerait
Et ce serait la nuit,
Une nuit sans étoiles,
Sans courbe ni nuages.
– Alors que deviendrait
Tout ce qui fait le ciel,
La lune et son passage,
Et le bruit du soleil ?
– Il vous faudrait attendre
Qu’un second cavalier
Aussi puissant que l’autre
Consentît à passer.
Jules supervielle (1884-1960) – les amis inconnus
le bruit du soleil…
Je découvre sans cesse de nouvelles merveilles 🙂
c’est beau….
Yep !
Je m’extasie, je défaille, je tombe en pâmoison… J’adôôôre !!!
des sels ? moi aussi cela dit encore merci pour la découverte 🙂
Magnifique !
oh que oui 🙂 !!