443
Je suis né du sperme du néant.
Mon âme s’est épurée dans le creuset du chagrin.
Perplexe, je fais le tour du monde, pareil au vent
Ne sachant où l’on a pris ma poussière.
Omar Khayyâm (1021-1132)
Traduit du persan par Hassan Rezvanian
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Je suis né du sperme du néant.
Mon âme s’est épurée dans le creuset du chagrin.
Perplexe, je fais le tour du monde, pareil au vent
Ne sachant où l’on a pris ma poussière.
Omar Khayyâm (1021-1132)
Traduit du persan par Hassan Rezvanian
On se rapproche du Kāmasūtra… où allons-nous ?
Tu es sûr que tu ne te trompes pas de région du monde ???? Je n’avais pas songé à des poèmes Hindous, en fait je n’en connais pas, quelle ignorance !!!!
bien beau poème à méditer …
je suis ravie qu’il te plaise Gambadou…. 😉
Un très beau poème… mais à ne pas lire lors d’une journée de cafard !!!
peut être en effet 🙂 plutôt à méditer un jour zen…