Mais l’oiseau point d’empreinte
Ne laisse. Son empreinte est
Son vol même. Nulle trace
Autre que l’instant-lieu,
Joie du pur avènement :
Lieu deux ailes qui s’ouvrent,
Instant un coeur qui bat.
François Cheng – Cantos toscans – 1999 – A l’orient de tout – Gallimard
Alors ce week-end en amoureux ? 😉
Sympa mais humide, on s’est fait tremper deux jours sur trois, bon en même temps c ‘est vivifiant m’enfin…. 😉
J’aime beaucoup ces quelques phrases ! 🙂
Merci Florinette, ce recueil m’a beaucoup plu 🙂
Joli poeme, qui me plait bien…
C”est vrai ? tant mieux je l’ai trouvé presque aussi évocateur qu’un haiku 🙂