Colin Foxe est un policier d’élite qui a fait le serment de protéger et sérvir, servir son clan et protéger les humains pour tout dire car Colin est en fait un vampire (comment cela vous aviez deviné). Membre d’une espèce distincte, télépathe et dotée de certain pouvoir, Colin multiplie les brèves aventures avec des humaines en attendant de s’attacher à une femme de son espèce. il ne sait pas encore laquelle choisir mais il sait ce qu’il veut, une femelle belle, puissante, appelée à devenir matri d’un clan et donc à lui assurer le plus haut statut parmi les siens. Si seulement depuis quelque temps, il ne développait une stupide passion pour cette simple humaine qu’il a croisé pendant une prise d’otage et qui depuis leur brève aventure l’obsède…
Comme j’ai honteusement omis de faire mes billets pour les harlequinades de la très glamourous fashion victim, je fais ici mon mea culpa en chroniquant ce décoiffant roman, moitié harlequin moitié bit-lit que, dans son immense générosité, elle a bien voulu me prêter. Alors tout y est, nos deux amoureux sont bien évidemment plus que séduisants, leur attirance mutuelle est irrésistible mais bien sûr tout les sépare et ils résistent (sans aucun espoir de réussite, rassurez-vous) aux pulsions qui les jettent dans les bras l’un de l’autre. Un bon point, la force de cette attirance s’explique finalement de façon plutôt astucieuse, le contexte est intéressant quoique exploité de façon assez superficielle et le héros s’appelle Colin (ce qui n’est pas un détail pour certaines). Bon en toute honneteté, je n’ai pas frémi pour lui, il a un côté bourrin dénué d’humour assez lassant à mon goût, le méchant vampire de l’histoire, par contre, possède un potentiel certain (il cite spiderman c’est tout dire) et comme je viens de découvrir qu’il s’agit en fait d’une série dont ce roman est le second opus, j’ai bon espoir de retrouver ledit Laurent (décidément un typique nom de vampire outre-atlantique) dans un prochain développement de ce monde vampiresque. Pour amateur évidement mais j’ai bien ri ! Mordant !
Morsure fatale – Susan Sizemore – 2004 – J’ai lu
Voilà on va dire que cela fait partie des harlequinades, de toutes façons je suis toujours en retard, très très en retards pour mes challenges…
de la bitlit encore de la bitlit toujours de la bitlit, avec ou sans “arles qui na de” rien d’intéressant. ouache, trop c’est trop
Au fait suis-je le seul à trouver le terme bitlit amusant vu qu’il n’y a souvent ni l’une ni l’autre (peut-être que le kiki du kikimundo l’a déjà faite celle-là)
Le Papou
question de gout monsieur Papou, moi la bitlit ça me repose :-))) j’aime les histoire de vampires séduisants et de loup-garous du même métal 😉
Mieux vaut tard que jamais ! Même chose pour moi : j’en ai soupé de la bit-lit ! Je viens d’achever le dernier livre de ce style que j’avais encore dans ma PAL, mais ça y est, c’est définitif… J’arrête la bit-lit… J’espère que tu as quand même pris du plaisir grâce à cette lecture !….
Ah mais oui beaucoup, je me suis amusé comme une petite folle, entre deux bouquins plus ambitieux, cela me délasse magnifiquement :-))))
Comme quoi, on peut être surprise par ce qu’on trouve derrière des couvertures pareilles 😉 mdr !
absolument qui l’aurait cru 🙂
Eh bien moi je ne me lasse pas de la bit lit. Vampires powaaaa.
Vampire powaaaa !!!! yeaaaah, ô mon estimée cyberjumelle :-))) tu n’aurais pas le premier par hasard :-))))
Comme Fashion, je ne me lasse pas de la bit lit… la couverture de celui-ci est tout de même horrible. En meme temps, que m’importe la couverture française, puisque si d’aventure je me fourvoie avec ce Colin-ci, ce sera dans la langue de Shakespeare. Ou de Laurent, au choix… sans sous-entendu graveleux, of course, ce n’est pas mon genre!
Dame Yueyin, auriez-vous l’amabilité de m’indiquer le titre en anglais? Pleaaaaaaae?
Et s’il n’en reste que quelques unes, nous seront de celles là :-)))) Mais Pimpi, laquelle d’entre nous oserait s’aventurer dans le sous-entendu graveleux, tss tss tss 🙂
le titre c’est I hunger for you (c’est normal comme syntaxe ça ?)
Thanx, gente dame!
Oui, I hunger for you est correct. To hunger for signifie désirer ardemment, avoir faim de quelqu’un (j’ai faim de toi… ce n’était pas dans une chanson des années 80, ça??).
Qui oserait s’adonner au sous-entendu graveleux? Personne, nous sommes toutes des femmes glamourous et soooo chics, jusque dans notre façon de parler!
soooo glamourous and soooo chic absolutly !!! j’adoooore cette belle définition de nous !!!
bon je suis contente, je me posais la question sur Hunger 🙂 mais c’est le deux, il y a un tome avant (baiser fatal en anglais mais bon avec le nom de l’auteur et celui du 2, tu devrais retrouver faciilement le titre :-))))
Hélas, non, je n’ai pas le tome 1 mais si tu le trouves (in english y a plus de chances à mon avis), je suis preneuse.
tss tss je prends note ma pota 🙂
Si maintenant il faut se méfier des Laurent, ou va-t-on ….
Ah ma pauvre c’est très étrange, c’est quand même le deuxième laurent-vampire plus ou moins méchant que je rencontre dans un roman américain, de là à se poser des questions…