La grande course de char à voile, prélude du chant de la terre, m’avait séduite par sa poésie et son souffle. Le côté immémorial, légendaire, parcellaire, mythique, tout cela m’avait beaucoup plu de même que l’histoire un peu ébouriffante de cette fille du jaguar destinée à influer sur l’histoire de l’humanité.
J’attendais donc la suite avec impatience et s’il y eut délai, ce sont les vacances qui en sont responsables car je l’ai reçu fin juillet ce roman, mea maxima culpa. Alors qu’en est-il finalement ? Et bien par certains côté j’ai retrouvé ce qui m’avait plu, un style et un imaginaire flamboyant, des histoires entrecroisées et de multiples possibles. Pour autant il manque quelquechose à ce tome. A trop vouloir mettre en scène la pluralités des temps et des légendes, l’auteur s’y perd un peu oubliant de donner une réelle consistance à sa trame et ses personnages qui m’ont semblé pour le coup un peu falots, un peu transparents, loin de l’épaisseur de la Karina et de l’El tigre de la grande course. De la même façon le fil conducteur m’est apparu trop ténu, la quête de la fameuse triade restant pour le moins floue.
Ceci étant le roman se lit avec plaisir, les épisodes sont parfois étonnants, parfois véritablement savoureux et l’univers ébauché dans le premier tome se révèle plus complexe et foisonant que jamais, dommage que la narration manque à mon sens d’élan et de cohérence. Contrairement au prélude cependant, ce titre n’est en fait qu’une moitié d’histoire complétée par un troisième tome les Dieux du grand loin. Le cycle demande peut être à être lu en entier pour être apprécié sans réserve… c’est très possible !
J’attendais donc la suite avec impatience et s’il y eut délai, ce sont les vacances qui en sont responsables car je l’ai reçu fin juillet ce roman, mea maxima culpa. Alors qu’en est-il finalement ? Et bien par certains côté j’ai retrouvé ce qui m’avait plu, un style et un imaginaire flamboyant, des histoires entrecroisées et de multiples possibles. Pour autant il manque quelquechose à ce tome. A trop vouloir mettre en scène la pluralités des temps et des légendes, l’auteur s’y perd un peu oubliant de donner une réelle consistance à sa trame et ses personnages qui m’ont semblé pour le coup un peu falots, un peu transparents, loin de l’épaisseur de la Karina et de l’El tigre de la grande course. De la même façon le fil conducteur m’est apparu trop ténu, la quête de la fameuse triade restant pour le moins floue.
Ceci étant le roman se lit avec plaisir, les épisodes sont parfois étonnants, parfois véritablement savoureux et l’univers ébauché dans le premier tome se révèle plus complexe et foisonant que jamais, dommage que la narration manque à mon sens d’élan et de cohérence. Contrairement au prélude cependant, ce titre n’est en fait qu’une moitié d’histoire complétée par un troisième tome les Dieux du grand loin. Le cycle demande peut être à être lu en entier pour être apprécié sans réserve… c’est très possible !
La locomotive à vapeur céleste – Le chant de la terre 2 – 1985 – Michael Coney – ailleurs et demain, Robert Laffont
PS. Et sinon j’adore le titre et les références à Stevenson…
Merci encore une fois
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