Un écrivain s’installe avec sa femme dans un petit pavillon au fond du parc d’une vaste demeure. Bientôt un promeneur plein de grâce fait son apparition et prend ses habitudes non seulement dans le jardin mais aussi à l’intérieur du pavillon : Chibi, le chat du petit garçon d’en face… Le couple se laisse fasciner par le comportement du bel intru et peu à peu organise sa vie autour de ses visites.
Hiraide Takashi est avant tout un poète et cela se sent dans son écriture très visuelle et puissament évocatrice. Certains lecteurs parle de ce petit roman comme d’une suite de haikus et je trouve que c’est assez vrai… Ce qui m’a génée ce sont les transitions entre les haikus. L’histoire est extrèmement lâche et au bout d’un moment je me suis ennuyée avec ce couple. Pourtant j’aime les chats, les jardins et cette écriture si poétique mais tout cela ne fait pas un roman.
J’imagine que bien des choses m’ont échappé. Le seul repère temporel de ce récit est la mort de l’empereur, un moment lourd de sens au Japon et je pense que l’histoire de Chibi a quelque chose à voir avec un symbolisme de transition, de passage d’une ère une autre… malheureusement je suis restée à côté. Déception !
Hiraide Takashi est avant tout un poète et cela se sent dans son écriture très visuelle et puissament évocatrice. Certains lecteurs parle de ce petit roman comme d’une suite de haikus et je trouve que c’est assez vrai… Ce qui m’a génée ce sont les transitions entre les haikus. L’histoire est extrèmement lâche et au bout d’un moment je me suis ennuyée avec ce couple. Pourtant j’aime les chats, les jardins et cette écriture si poétique mais tout cela ne fait pas un roman.
J’imagine que bien des choses m’ont échappé. Le seul repère temporel de ce récit est la mort de l’empereur, un moment lourd de sens au Japon et je pense que l’histoire de Chibi a quelque chose à voir avec un symbolisme de transition, de passage d’une ère une autre… malheureusement je suis restée à côté. Déception !
Les avis beaucoup plus enthousiastes de Papillon, tamara, Kalistina et Katell, celui plus réservé de Flo.
Lu dans le cadre de mon
Le chat qui venait du ciel – Hiraide Takashi – 2001 – traduit du japonais par Elisabeth Suetsugu Picquier 2004 – Babel 2006
Tiens! Celui-là est dans ma PAL
J’ai hâte de savoir ce que tu vas en penser Soï 🙂
Bon, alors je passe mon tour sur celui-là !
Pour l’instant il y a une majorité de blogueur qui ont aimé remarque 🙂
Il figure déjà dans ma LAL, donc à voir si je le trouve à la biblio !
POurquoi pas, j’aimerai avoir ce que tu en penses 🙂
Il fait partie de mes derniers achats.
Ah ah, bientôt un billet pour que nous puissions comparer nos ressentis 🙂
C’est un roman que j’appelle “d’ambiance”. Il ne se passe pas grand chose. Ce que j’avais retenu de ce livre, c’est le vide affectif de ce couple sans enfant (on se demande un peu pourquoi ils n’en n’ont pas) qui fait prendre une importance un peu démesurée au chat.
J’aime beaucoup les chats mais celui-ci prend peut-être un peu trop de place, non ?
Certes mais je ne sais pas s’il prend a place d’un enfant, peut être ! en même temps ce couple ne fait jamais allusion aux enfants et ne s’interesse pas au petit garçon. Même entre eux il se passe moins de chose semble-t-il qu’avec le chat et que dire des relation avec les voisins propriétaire dudit chat… quand même étrange cette froideur extrème entre les personnages humains non ?
Comme toi ce livre ne m’a pas emballé, les personnages et les évènements sont trop “plat”
oui dommage car l’écriture est très poétique, j’aimerai bien lire des poèmes d’Hiraide du coup 🙂
J’étais assez tentée par ce livre (forcément, il y a chat dans le titre !) mais ton billet me refroidit un peu ! Déjà que j’ai parfois du mal avec la littérature asiatique, je crains que ce soit le cas avec celui-là !
Difficile à dire, la plupart des critiques que j’ai lues étaient bonnes, ce qui m’a donné enie de lire le roman, donc…. :-))
Je ne suis pas très “chats” donc pas vraiment attirée… je vais passer (je sais, je sais, étant donné qu’il y a Kitty un peu partout chez moi, c’est un peu paradoxal… mais c’est une longue histoire!!!)
Ah faudra que tu nous la raconte cette histoire alors… je crois que l’appréciation du livre n’a pas grand chose à voir avec l’amour des chats, sinon j’aurais été plus enthousiaste :-))))
bah, moi de toute faon la litt japonaise… j’aime pô trop alors…!
Ah moi j’aime beaucoup beaucoup d’auteur japonais, mais il y a tant de facettes différentes à cette littérature 😉
Mon avis est à peu près le même. Très poétique mais traîne un peu en longueur (et pourtant il ne fait que 120 p). Je ferai la critique dans les jours à venir (j’ai 7 livres à présenter !).
Ah comme je te comprends moi aussi j’ai un retard terrible, j’irai voir ton billet… 🙂
Il est vrai qu’il provoque des ressentis bien différents ce roman 😉 Parfois j’avais l’impression de me retrouver, côté ambiance familiale, dans le film superbe “Le goût du saké” (j’ai oublié le nom de l’auteur): peu de sentiments forts exprimés…mais c’est la touch japonaise qui fait ces effet là à nous occidentaux 😉
J’espère que ta prochaine lecture de ton challenge asie sera plus positive!
J’attends la suite de ce challenge avec impatiene Katell… (c’est juste que je n’arrive pas à lire assez vite :-))
j’avance tout doucement : et une note de plus aujourd’hui !!;)
je vais voir ça 🙂
Comme toi, Yue, j’ai surtout apprécié cette écriture poétique, mais une part des symboles m’a sans doute échappé…
J’aimerai quand même bien lire les poèmes de l’auteur, je pense que j’aimerai 🙂
J’ai enfin publié mon article. Plus positif que le tien mais effectivement assez partagé.
C’est qu’il écrit quand même drolement bien Hiraide :-)))
Dommage que ce roman ne t’ait pas plu ! J’espère que ta prochaine lecture sera plus enthousiasmante.
Oh j’ai des tas de merveilles potentielles en réserve :-))) je suis sûre que la suite de mon chalenge Asie m’apportera toute sorte de belle découverte 🙂