Pour Douglas, Eléna choisit le corps qui lui allait le mieux. Elle demanda à l’humidité de lui boucler encore plus les cheveux et au soleil de lui colorer les joues. L’eau de la rivière lui adoucissait la peau et la lumière égayait ses yeux. Elle enfila ses jambes du dimanche et se vêtit de ses plus beaux seins. Elle s’accrocha à la bonne humeur et son rire se mit à retentir en écho dans la forêt.
Les carnets de Douglas – Christine Eddie – 2007
Des seins différents qu’on installent suivant son humeur, ça va faire un boum le jour des soldes.
ça pourrait hein :-))) Ce roman est très beau vraiment…