Je n’aime pas du tout les coïncidences. C’est un peu comme les histoires de revenants ; pendant un instant vous vous rendez compte à quoi cela doit ressembler de vivre dans un univers que Dieu dirige et organise, dans lequel Il vous surveille par-dessus votre épaule en laissant entrevoir, par des signes grossiers, un plan cosmique. Je préfère ressentir que les choses sont chaotiques, indépendantes, folles de façon permanente ou temporaire – ressentir la certitude de l’ignorance humaine, sa brutalité, sa déraison.
Le perroquet de Flaubert – Julian Barnes – 1986
C’est pourtant bien Dieu qui tient la plume de Lou.
Est-il facétieux !
Je l’ai rencontré, rue Montorgueil.
Ciel, une coïncidence !!! Un Dieu japonais pour le moins, Geko je crois :-)))) (un bon ami de Mothra)
Je sais, on ne voit pas sa tête, mais il est connu qu’on ne peut regarder la face de Dieu de son vivant.
C’était donc cela :-)))
Des fois je suis d’accord et des fois non !
Le Papou (contradiction est un de ses prénoms)
c’est souvent comme cela non ? 🙂
Coucou Yueyin ! Je pense un peu comme Le Papou Parfois, la timide que je suis aimerait bien rencontrer davantage d’heureuses coincidences dans sa vie ! Mouarf !
Oui je comprends ce sentiments turquoise :-))) mais faut s’méfier quand même 😉