Top sept des romans québécois lus cet été

Chose promise, chose due… et je vous ai promis des listes, embarquons donc et que le vent nous soit favorable. Et pour commencer, en préparation de Québec en novembre qui s’annonce, se profile, se prépare comme chaque automne depuis… hou un certain nombre d’années, je m’en vais partager avec vous sept livres québécois (ahem environ) que j’ai lus (et appréciés) cet été car pour reprendre un slogan qui nous est cher à ma très aimée Karine et moi-même : lire québécois, c’est pas qu’en novembre… Alors évidemment je n’en ai encore chroniqué aucun, (quoique si vous insistez…) mais je vous ajoute quelques liens quand même…

  • Le plongeur – Stéphane Larue – Le Quartanier – 2016
    une plongée dans les mondes poisseux et angoissants des arrière-cuisines de restaurant et de l’addiction au jeu. Le seul qui soit peut-être un challenge pour un lecteur français mais quelle écriture ! l’avis – enthousiaste – de dame Karine
  • Le premier jardin – Anne Hébert – Le Seuil – 2001
    Une pépite, un classique comme tout Anne Hébert, auteure québécoise incontournable et une très belle promenade dans Québec. L’avis de Karine toujours
  • Le peintre d’aquarelle – Michel Tremblay – Acte sud 2017
    Une très belle  et très douce variation sur le temps, la vieillesse, la vie en somme – c’est du Tremblay – encore un classique – et moi j’aime d’amour
  • La danse de la méduse – Laurence Prud’homme – Québec Amérique – 2008
    Une mère insaisissable et disparue… des souvenirs et des secrets de famille, l’avis de karinette
  • 160, rue Saint-Viateur ouest – Magali Sauvé – Mémoires d’encrier – 2018
    un polar pas comme les autres qui nous entraine dans un quartier populaire de Montréal, aux marges de la communauté hassidique et vers des secrets remontant à la seconde guerre mondiale
  • Conversation avec un enfant curieux – Michel Tremblay – Léméac acte sud – 2016
    Une petite plongée dans l’enfance – éternelle inspiratrice – de l’auteur dans la veine du délicieux un ange cornu avec des ailes de taule. (oui encore du Tremblay !)
  • Laure Clouet – Adrienne Choquette – Bibliothèque québécoise – 1961
    Une effarante plongée dans la vie – et l’esprit – corsetés d’une opulente bourgeoise de Québec au tournant du siècle.
  • bonus le poids des secrets – Aki Shimazaki – Babel – 2010 (5 volumes)
    Comment cela je triche ? Mais pas du tout, j’ai juste quelques soucis avec les chiffres et puis c’est un bonus ! Quoiqu’il en soit, je ne saurais trop vous conseiller cette délicieuse pentalogie restée en plan dans ma pal depuis presque deux lustres, on se demande bien pourquoi…

Bonne lectures québécoises gens de l’internet bloguesque et néanmoins mondial (et inscrivez-vous donc à Québec en novembre, même ici en commentaire si vous voulez) et à tout bientôt pour de nouvelles listes…

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6 réponses à Top sept des romans québécois lus cet été

  1. Karine dit :

    J’ai tout lu sauf Le peindre d’aquarelle! Les billets que tu n’as pas trouvés sont prévus pour novembre!

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