Enfant de (séries) télé

Ma très chère et très glamour cyberjumelle en ayant décidé ainsi, je me vois taguée sur le vaste sujet des séries télévisées, une de mes passions à moi avec les livres (non ? si si) et les films (oui je suis constante). J’aurais voulu citer toutes les séries marquantes qui me viennent à l’esprit mais c’est impossible, il y en a véritablement trop. J’ai donc dû faire des choix parfois déchirants.

De plus je préfère prévenir, je garde de très bon souvenirs de séries qui ont horriblement mal vieilli mais je suis incapable de brûler ce que j’ai aimé et je peux tout à fait continuer à m’amuser devant quelquechose de parfaitement caricatural. Disons que c’est mon côté bon public, qui a ses vertus : je m’ennuis rarement…

Tout cela pour dire que je me suis promis de faire un effort de diversité pour ce tag (un effort j’ai dit, je ne promets rien)

 

1. A quelle série dois-tu ton premier souvenir de télévision ?

Un de mes premiers souvenir addictif doit être l’immortel (1970-71), série plus ou moins calqué sur le fugitif 1963-67 (tout comme kung fu 1972-75 ou l’incroyable hulk 1977-82 et beaucoup d’autres) et que tout le monde semble avoir oublié. Bah j’imagine qu’elle ne valait pas forcément grand chose mais enfin à 6 ans, jadorais. Un coureur automobile n’ayant jamais été malade de sa vie apprend à la suite d’une prise de sang de routine, que la qualité exceptionnelle de celui-ci lui assure quasiment l’immortalité. Malheureusement ces résultats sont également communiqués à un milliardaire mourant qui décide de mettre ce merveilleux fluide et son possesseur sous contrôle histoire de profiter lui-même d’une petite rallonge de vie… Pour Ben Richard commence une fuite sans fin à travers les états unis.

 

Autre série essentielle à mes yeux, les nouvelles aventures d’Huckelburry Finn (1968), non seulement elle m’a fournie en rêveries interminables et  m’a amenée à Mark Twain dès que j’ai eu l’âge de lire mais en plus elle m’a fait connaitre le premier grand méchant de mon existence, bien avant Darth Vader ou même Galactus, Joe L’Indien a été pour moi LE MECHANT absolu. Bon il faut dire que l’innénarable ted cassidy qui l’interprétait était taillé pour terroriser n’importe qui je crois

 

Enfin au chapitre des séries médiévales, outre Thierry la fronde bien sûr, j’avais une prédilection pour Thibault ou les croisades, une série en pur papier maché qualité carton pâte pleine de bons sentiments qui a hélas mal vieilli mais m’a laissé le goût de l’époque.

2. Quel est le chef-d’œuvre “officiel” qui te gonfle ?

Je suis totalement imperméable à 24h, je n’ai d’ailleurs pas fini la première saison, sorry jack et sans rancune, les super-héros je les préfère en costume et comme série espionnage je préfère Spooks (2002-?) voire Mission Impossible (la série hein 1966-73 puis 1988-93)…

 

3. Quel est le classique absolu que tu n’as jamais vu et d’ailleurs pas eu l’envie de voir ?

Desperate Housewife ne me dit rien qui vaille… sauf depuis que je sais que John Barrowman doit y tenir un rôle, eventuellement…

 

4. Quelle est la série, unanimement jugée mauvaise, que tu as “honte” d’aimer ?

Moi honte jamais, j’ai commencé avec Skippy le Kangourou et Mon ami Ben alors pour me faire honte… j’ai regardé quasi tout Smallville, je ne sais combien de saisons de Charmed, the A team (j’adore qu’un plan se déroule sans accroc), The duke of Hazzard (sherif fais moi peur), Highlander, Airwolf, K2000 et Tonnerre mécanique (quand j’y pense je regardais n’importe quoi non ?) et encore plein d’autres choses aussi improbables.

Mais non il n’y a aucune limite au mauvais goüt quel idée

 

5. Quelle est la série que tu as le sentiment d’être la seule à aimer ?

Firefly sans aucun doute. J’adore cette série génialissime de Joss Wheddon mais elle a du mal à plaire de ce côté de l’océan semble-t-il (et il n’y a eu qu’une saison en plus so sad !) heureusement quelques personnalités d’exception partagent ma passion.

et disons Moonlight(2007), j’aime vraiment beaucoup les vampires…

 

6. Quelle série aimerais-tu faire découvrir au monde entier ?

Doctor Who et Torchwood je suppose qui sont sans aucun doute mes grandes découvertes des dernières années

    

 

 7. Quelle série ferais-tu regarder à ton pire ennemi pour le torturer?

J’hésite, Alerte à malibu peut être, tant de plastique fait peur non ?

 

8. Quelle série pourrais-tu voir et revoir ?

A part Doctor Who et Torchwood, la série des Sherlock Holmes avec Jeremy Brett sans aucun doute, et Bones aussi (oui ça n’a rien à voir) et Serenity bien sûr et Stargate Atlantis et…

9. Quelle série faut-il voir pour y découvrir un aspect essentiel de ta personnalité ?

Aucune idée pour cette question alors je vais parler de Cosmos 1999 (1975-1978) parce que je n’ai pas  réussi à la placer ailleurs. Après tout la SF est une partie essentielle de ma personnalité et Bones (2005-?) parce que je suis officiellement anthropologue quoique pas judiciaire pour un sous. Et bien sûr Chapeau melon et botte de cuir (1961-1976), la série la plus classe, la plus intelligente, la plus décalée et la plus kitsh de la galaxie…

 10. Quelle série t’a fait verser tes plus grosses larmes ?

Je dois être sans coeur mais je pleure rarement devant un film ou une série, la saison 3 de Torchwood m’a traumatisée cela dit, je ne suis pas sûre de m’en remettre.


11. Quelle série t’a procuré ta plus forte émotion érotique ?

En voilà une question ! J’hésite, le pantalon ajusté de James West (wild wild west 1965-1969) était forcément notable, un peu comme les tablettes de chocolat de Tom Welling dans Smallville (2001- ?) ou les larmes de sang de Eric Northman dans Trueblood (2008-?) Il y a bien eu aussi le mystérieux veilleur de Dark angel (2000-2002, depuis il s’est d’ailleurs engagé au NCIS), et Booker qui après avoir sévi au 21 jump street (1987-1991 avec johnny) a profité pendant deux saisons de sa propre série (1989-1990), charmants tout à fait charmants, mais de là à parler d’émotion érotique… à moins que Tom Quinn de Spook, oui là peut être…

12. Quelle série emporterais-tu sur une île déserte (en plus d’un générateur et de la télévision) ?

Quelque chose de trrrrès long évidemment, bon histoire de ne pas faire comme les  copines, je vais dire Stargate, j’adore l’univers complexe de cette série et avec Atlantis on doit bien être à 15 saisons, voilà qui est raisonnable.

13. De quelle série attends-tu la sortie en DVD avec la plus grande impatience ?

La saison 5 de Doctor Who et la saison 5 de Bones

Le onzième doctor, encore à découvrir en ce qui me concerne…


14. Quel est selon toi le film adapté d’une série le plus réussi ?

Voyons, Le fugitif d’Andrew Davies (1993) je suppose… Un bon film probablement meilleur que la série d’origine. Et le Star trek de J.J. Abrams (2009) que j’ai adoré et bien sûr Serenity de Joss Wheddon (2004) sauf que ce n’est pas  vraiment une adaptation de Firefly mais la suite alors est-ce que cela compte ???

La patte Wheddon, ça se reconnait…


J’ai encore des foules d’idées, un classement par catégorie par exemple, je me rend compte que je n’ai pas cité de série médicale (ce ne sont pas mes préférées mais enfin il y MASH), ni de série western (ou si peu et là quand même Daniel Boone, La piste des cheyennes ça vous parle ?), très peu de série policière (pourtant…), pas de formats courts, je n’ai même pas parlé des génériques (Hyper importants pourtant) enfin vous voyez…


En attendant d’autres aventures, j’inviterais bien Mr Kiki, Hydromielle, choupynette et Pimpi à faire leur coming out

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sonnet 130

Continuons donc à explorer la poésie avec un des plus célèbres poètes du monde, le grand Will, et un sonnet que je trouve ébourrifant…

 

My mistress’ eyes are nothing like the sun;
Coral is far more red than her lips’ red;
If snow be white, why then her breasts are dun;
If hairs be wires, black wires grow on her head.
I have seen roses damask’d, red and white,
But no such roses see I in her cheeks;
And in some perfumes is there more delight
Than in the breath that from my mistress reeks.
I love to hear her speak, yet well I know
That music hath a far more pleasing sound;
I grant I never saw a goddess go;
My mistress, when she walks, treads on the ground:
   And yet, by heaven, I think my love as rare
   As any she belied with false compare


William Shakespeare (1564-1616)


traduction en anglais moderne :

My mistress’ eyes are nothing like the sun; coral is far more red than her lips are. If snow is white, all I can say is that her breasts are a brownish grey colour. If hairs can be compared with wires then black hairs grow on her head. I know what pink, red and white roses look like but I don’t see any roses in her cheeks. And there’s more pleasure in some perfumes than there is in my mistress’ reeking breath! I love her voice although I know that music is more pleasing to the ear. I admit I’ve never seen a goddess walking; when my mistress walks she treads firmly on the ground. And yet, by heaven, I think that my love is as unique as any woman who is the subject of a romantic poem.

 

Traduction approximative en français par mon indigne personne pour ceux qui seraient réfractaire à la langue du barde – juste pour la compréhension, aucune prétention et n’hésitez pas à me prévenir si j’ai fait un contre sens :

Les yeux de ma maitresse n’ont rien à voir avec le soleil, le corail est bien plus rouge que ses lèvres, Si la neige est blanche alors son sein est gris, Si les cheveux sont des fils (?) alors des fils noirs poussent sur sa tête. Je sais à quoi ressemblent des roses blanches, roses et rouges mais je n’en ai pas vu sur ses joues et certains parfums sont plus agréables que son souffle. J’aime écouter sa voix mais je sais bien que la musique a des sons plus plaisants. J’admets que je n’ai jamais vu de déesse marcher mais quand ma maitresse marche, c’est fermement ancré sur le sol. Et pourtant, par le ciel, je pense que mon amour est aussi rare que n’importe quelle femme jamais chantée par de fausses images.

 

Et enfin lecture par une des “chocolate voice” du théatre et du cinéma anglais, Alan Rickman.

 

C’est beau non ?



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Des nouvelles de ma bal saison 32458

Entre six billets de lecture, voire quelques tags, en cours de rédaction et 10 diaporamas en phase d’élaboration, voici quelques nouvelles de mes charmantes et merveilleurs copines blogueuses. (Ce genre de billet est bien plus rapide à écrire que les autres, c’est bien pratique)

Donc regardez un peu les jolies coses que j’ai reçues il y a quelques jours de Stéphanie

et aujourd’hui de Karine

C’est beau non ? Des livres “magiques” (et en vo pour mon challenge, j’adore), un porte-clé doctor (voire David-chou) et un tout beau bracelet (bas les pattes mes filles) Le dessin est autochtone, histoire de rappeler que yueyin veille, en cheveux roses indeed…

 

Merci, merci, merci, les filles,

vous êtes merveilleuses, sublimes, grandes, généreuses,

hypragentilles, hyperadorables et encore plein d’autres choses…

 



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Jeu d’écriture(s) – saison 2

Messire Lou me propose cette fois encore de participer au jeu d’écriture(s) du blog à 1000 mains, écrire un texte de quelque forme que ce soit, en s’inspirant de cette photo si sereine de thé citron

Qui sait d’où vient le souffle (comme disait Boris, le poète écrit sous le coup de l’inspiration mais il y a des gens à qui les coups ne font rien) cette fois, l’instant figé me chuchote un Haiku, enfin un genre de haiku en français (ah si je connaissais mes kanji 漢字)…

 

chaud amer sur la langue
doux crissement de la plume
engourdi, l’été s’écrit

 

 

La saison 1 est ici

A qui proposerais-je de prendre la suite, les clubistes ? Anjelica, Bluegrey, Alaure, Freude…  Choupynette a déjà relevé, haut la main, le défi…

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La croix d’ossements

Il y a quelques mois, j’ai parlé de ce roman par ici dans le cadre de mon challenge “Lire en VO”. Ceci est donc simplement un message aux lecteurs (et j’imagine principalement aux lectrices) purement franco- phones: le tome 4 des aventures de Mercy Thompson est sorti en français. Que les amateurs de littérature mordante en prennent bonne note. C’est de l’excellente Bit-lit pour amateur. Enjoy !


La croix d’ossements – Patricia Briggs – 2009 – Milady – traduit del’anglais (états-unis) par Lorène Lenoir – 2010

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Quelle grandeur rend l’homme vénérable ?

Quelle grandeur rend l’homme venerable ?
Quelle grosseur ? quel poil ? quelle couleur ?
Qui est des yeus le plus emmieleur ?
Qui fait plus tot une playe incurable ?

Quel chant est plus à l’homme convenable ?
Qui plus penetre en chantant sa douleur ?
Qui un dous lut fait encore meilleur ?
Quel naturel est le plus amiable ?

Je ne voudrois le dire, assurément,
ayant Amour forcé mon jugement ;
mais je say bien et de tant je m’assure,

que tout le beau que lon pourroit choisir,
et que tout l’art qui ayde la Nature,
ne me sauroient accroitre mon desir.


Louise Labé (1524-1566)

Sonnets

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Temple du ciel

Au chapitre des sites touristiques pékinois, impossible de faire l’impasse sur le temple du ciel, construit à l’origine par l’empereur Yongle au début du XVe siècle. Il était dédié au rapport avec le ciel dont l’empereur était le garant, tous les ans il y effectuait donc une série de sacrifices d’une immense importance pour la prospérité de l’empire.

Le “temple” est en fait un vaste complexe de bâtiments et d’autels organisés spatialement autour des thèmes de la terre, symbolisé par le carré et la couleur verte et du ciel symbolisé par le cercle et le bleu…

templeDuCiel0

Un site étonnamment serein dans l’agitation urbaine de la capitale chinoise…

Classé au patrimoine mondial de l’Unesco, avec raison.

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Las ! que me sert…

Las ! que me sert, que si parfaitement
louas jadis et ma tresse doree,
et de mes yeus la beauté comparee
à deus Soleils, dont Amour finement

tira les trets causes de ton tourment ?
Ou estes vous, pleurs de peu de duree ?
et mort par qui devoit estre honorée
ta ferme amour et iteré serment ?

Donques c’estoit le but de ta malice
de m’asservir sous ombre de service ?
Pardonne moy, Amy, à cette fois,

estant outree et de despit et d’ire ;
mais je m’assure, quelque part que tu sois,
qu’autant que moy tu soufres de martire.

 

Louise Labé (1524-1566)

Sonnets

Publié dans poèmes | 10 commentaires

La danseuse de Mao

Dans Mort d’une héroïne rouge, l’inspecteur Chen nouvellement nommé, enquêtait dans le Shanghai du tout début des années 90. Sa sixième enquête, La danseuse de Mao, nous montre cette même ville profondément modifiée, faisant le grand écart entre tradition millénaire, communisme plus ou moins poussiéreux type milieu vingtième et post modernisme très XXIe siècle. Notre sympathique poète-inspecteur est en effet chargé d’une mission aussi délicate qu’inhabituelle, sonder par tous les moyens, même les plus bourgeois, la petite fille d’une ex-éphémère petite amie du président Mao dont le train de vie en soudaine expansion pourrait dissimuler un coupable secret du grand timonier, peut être même un secret monayable, dans tous les cas un problème pour la réputation du feu  camarade président et, par voie de conséquences, pour celle de l”indéboulonnable Parti…

Je retrouve toujours avec plaisir l’inspecteur Chen dont les enquêtes sont avant tout un prétexte pour explorer la Chine moderne, ses changements profonds et ses contradictions… Mon tout récent séjour dans cette ville n’a fait que décupler ce plaisir et je me suis immergée avec empressement dans cette expédition au coeur de l’histoire tourmentée de cette cité fascinante, premier point d’entrée des occidentaux en Chine, métropole du vice et des fantasmes sino-européens dans les années trentes, durement secouée par les excès de la révolution culturelle, aujourd’hui lieu d’expérimentation futuriste des architectes mondiaux. Une histoire intimement liée à celle du pays, au travers d’une intrigue impliquant de tout près l’impressionant personnage de Mao, icône inattaquable du régime, aujourd’hui passablement écornée  par divers témoignages non autorisés. Passionant !


La danseuse de Mao (The Mao Case) – Qiu Xiaolong – 2007 – traduit de l’anglais par Fanchita Gonzalez Batlle – Liana Levi Points

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En attendant mes cinquante-douze billets de lecture en retard…

Normalement aujourd’hui je m’étais promis de commencer à rattrapper mon retard en matière de billets de lecture. Oui oui oui, c’était une promesse et je comptais m’y tenir mais voilà, entre temps ma Bal a fait des siennes et forcement j’ai très envie de vous montrer en photo et en couleur les trésors qu’elle me réservait…

Alors tout d’abord Mâme Bookomaton qui a décidé de me gâter sous des prétextes pffff, comme quoi que peut être je l’aurais gâtée moi-même et patati patata tss tss.

Un livre d’inspiration chinoise des plus appétissants (il se passe sous les Tangs c’est dire…), un magnifique carnet au look rétro et de délicieuses gourmandises hélas défuntes… (J’en profite pour vous faire profiter de mon so sexy fond d’écran…) Et vous avez vu la magnifique enveloppe qui contenait le tout? Une superbe surprise qui m’a prise au dépourvu je dois dire et mérite au moins un énorme bisous !


Les réjouissances n’étaient pas terminées cependant car, pas plus tard que ce matin, un paquet d’anniversaire est arrivé en provenance de ma glamourous cyberjumelle fashion, voyez plutôt :


Un super mug de l’espace à l’effigie de mon ultimate amour de jeunesse Han Solo (ben oui j’aime bien Chewbaca mais en toute amitié), un porte-sac so british avec mes futurs converse dessus (celles avec l’Union Jack *soupir*) et un magnifique cochon pour préparer notre Shakespeare tour à New York (du coup j’ai tout dit à mon tendre et cher qui a déjà mis une pièce inside, c’est beau, lui préfererait un marvel tour avec le Baxter building plutôt que le Globe au programme mais comme je dis toujours, pourquoi choisir, l’un n’empêche pas l’autre et toute cette sorte de chose mais je m’égare). Voilà qui mérite également un énorme bisous!

Merci encore Bookomaton et Fashion vous êtes des amours ! Les blogueu(rs)ses sont merveilleu(x)ses, qu’on se le dise…


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