L’éternité…

Bien que j’aie raté le rendez-vous poétique de Celsmoon dimanche dernier, j’avais toujours en tête de compléter mon triptyque arthurien, voici donc enfin mon obole… vale Arthur!

Enfin, ô bonheur, ô raison, j’écartai du ciel l’azur, qui est du noir, et je vécus, étincelle d’or de la lumière nature. De joie, je prenais une expression bouffonne et égarée au possible:


Elle est retrouvée!
Quoi? L’éternité
C’est la mer mêlée
Au soleil.

Mon âme éternelle,
Observe ton voeu
Malgré la nuit seule
Et le jour en feu.

Donc tu te dégages
Des humains suffrages,
Des communs élans!
Tu votes selon…

– Jamais l’espérance.
Pas d’orietur.
Science et patience,
Le supplice est sûr.

Plus de lendemain,
Braises de satin,
Votre ardeur
Est le devoir.

Elle est retrouvée !
– Quoi? -L’éternité.
C’est la mer mêlée
Au soleil.


Arthur Rimbaud 1873
Une saison en enfer – Délires

 

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Un inconnu vous offre un livre…

Opération Impulse selon Lhisbei…


Il s’agissait donc dans cet échange newfashion d’envoyer un livre à un ou une inconnu(e) et d’en recevoir un d’un ou une autre…  Vous me suivez j’espère ! Evidemment avec l’insolente chance qui me caractérise j’en ai reçu deux (lalalère) soi-disant qu’ils seraient courts tout ça… Encore une blogueuse qui ne sait pas compter, voilà ce que j’en dis moi.. Merci compte double donc gentille fée de passage et bonne pioche, il se trouve que Jean Teulé et René Barjavel figurent aussi dans mes auteurs fétiches (quoique cela fasse un bail que je n’ai pas lu Barjavel je dois le dire) donc tout est pour le mieux…

Mon livre, quant à lui, est parti vers… mais je ne peux pas vous le dire tout de suite, je ne sais pas si elle l’a reçu. too bad ! La suite au prochain numéro…
Merci mille fois à Lhisbei, ma très honorable et très estimée co-Hedwige-team, pour cette impulsive idée de noël…


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Hunger games

Panem s’est construit sur les ruines de l’ancienne Amérique de nord, le Capitole le gouverne en maître, approvisionné par douze districts spécialisés. Une révolte  a autrefois entrainé l’anéantissement du treizième et depuis chaque année, le capitole rappelle leur place aux habitants des districts survivants en les obligeant à regarder vingt-quatre de leurs enfants s’entretuer. Cette année, comme toutes les autres, deux enfants entre 12 et 17 ans seront tirés au sort sur chaque grand place et seront jetés dans une immense arène sous l’œil d’une multitude de caméras comme au meilleur temps des émissions de téléréalité de l’ancien monde et un seul en ressortira vivant, et riche à vie, à charge de l’organisation de motiver des participants de quelque façon que ce soit… Dans le douzième district, celui du charbon, de la crasse et de la faim, c’est Katniss une jeune et plutôt coriace braconneuse de 15 ans qui partira à la place de sa petite sœur, sans espoir de retour et la rage au cœur… une rage et une expérience qui peuvent peut être lui permettre de survivre mais à quel prix ?
Croisant les thème classique des jeux de mort et du totalitarisme médiatique, l’auteur tisse une histoire admirablement construite, prenante, passionnante, horrifique au fond mais sans voyeurisme ni pathos. Les personnages sont véritablement attachants dans leurs imperfections, de l’héroïne plutôt rugueuse à son compagnon d’infortune apparemment maladroit mais peut être manipulateur, en passant par leur entraineur alcoolique et une galerie de comparses bien typés… L’écriture très visuelle est  efficace et les rebondissements nourrissent et entrainent la réflexion vers l’instinct de survie et la barbarie qui n’est jamais très loin, l’esprit sous tutelle et les choix possibles, la révolte et ses limites, les sentiments et leur place dans ces “jeux de la faim”…
Un excellent roman jeunesse à la hauteur des espoirs que tant de blogueurs avaient suscités en moi, j’attends la suite avec grande impatience. Excellent !

The Hunger games – Suzanne Collins – 2009 – Pocket jeunesseles avis de Fashion, Théoma, Karine:), Amanda, Bladelor, Cuné


-1 (ce qui fait je ne sais pas combien exactement)


Crazy défi 1/3 – catégorie SF post apocalyptique (je présume)

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Ce matin à toulouse

ceMatinATouloluse
On se croirait… je ne sais pas moi, ailleurs !

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Une ville dans le titre…

Lorsque qu’Ofelia nous a proposé comme thème pour notre joyeux club de lecture: “un livre avec une ville dans le titre” (et attention une ville, pas un quartier ou assimilé car elle est ainsi Ofelia voyez-vous, précise dans ses désidérata), je me suis réjouie car j’avais justement ce joli titre dans ma pal depuis le swap londonien. Polar victorien clamait la bande rouge qui allait avec le livre – que du bonheur à venir me suis-je dis. D’autant que je lis beaucoup moins de 10/18 grands détectives en ce moment, il est loin le temps ou d’aucun me soupçonnait d’y avoir des actions, c’était donc une parfaite occasion. Malheureusement je dois dire que cette fois ce fut surtout une déception.
Une jeune femme terrifiée se jette un soir dans la tamise du pont de Blackfriars. Son amie et employeuse vient de se faire asssassiner et tout semble l’accuser. Miraculeusement sauve, elle décide de changer d’identité et de retrouver le vrai meurtrier…
Comme je le disais précedemment, ce polar londonien-victorien avait absolument tout pour me plaire a priori, pourtant je me suis ennuyée. Le cadre, les bas quartiers pauvres et sordides du Londres de la fin du XIXe, est pourtant  bien brossé et même assez vivant, l’écriture est plutôt fluide mais les personnages sont désespérement inconsistants voire transparents. Arrivée à plus de la moitié du roman, je les confondais encore. Cela dit cette vacuité est très certainement volontaire, le personnage principale, l’apprentie noyée, est elle-même insaisissable mais ce qui est intriguant au début de l’histoire m’a rapidement lassée d’autant que les zones d’ombre ne sont jamais éclaircies. Quant à la narration très fragmentée, elle dissout l’intrigue en une multitude de tableaux dont je n’ai pas toujours vu l’intérêt. La fin par contre est vraiment bien amenée et plutôt inattendue mais cela reste plus qu’insuffisant pour moi. Une déception disais-je !
Frustrée par cette expérience, je n’ai pu me résoudre à m’embarquer pour notre rencontre de club sans plus de biscuit et j’ai déniché dans ma bibliothèque un “Dame Agatha” correspondant aux critères – après on ne dira plus que je ne fais pas mes devoirs ! Il se trouve de surcroît que Rendez-vous à Bagdad est un de mes Christie préférés, un de ces romans populaires dans la lignée de L’homme au complet marron que Dame Agatha se permettait parfois.
Victoria Jones, jeune londonienne plus imaginative que compétente, vient de perdre son énième emploi, ce qui l’inquiète peu car dans le monde en reconstruction d’après guerre, en retrouver un ne sera pas un problème. Ce même jour cependant, elle croise un charmant jeune homme dans un  parc et tombe sous le charme. Le dit jeune homme est en partance pour Bagdad, qu’à cela ne tienne, Victoria trouvera bien une solution pour l’y rejoindre, devrait-elle mentir un tantinet et s’attribuer quelques oncles distingués au passage.
J’aime décidément beaucoup cette histoire décoiffante (au sens propre) et enlevée où Victoria-Juliette à la poursuite d’Edouard-Roméo se retrouve embringuée dans une invraisemblable histoire d’espionnage, rencontre des gens passionants, de brune devient blonde, cache un fugitif dans son lit pour l’y retrouver mort, s’initie à l’archéologie et finit par résoudre l’affaire grâce à Dickens, parfaitement ! Certes l’histoire est assez tirée par les cheveux, mais l’écriture si évocatrice de l’auteure redonne vie à un coin du monde bien changé depuis et anime avec bonheur des personnages pittoresques et bien campés, le tout assaisonné d’une bonne dose d’humour, d’une demi-pinte de sang et de quelques clins d’oeil littéraires. Que du plaisir!

Les secrets de Londres – Lee Jackson – 2008 – 10/18 – encore merci Armande pour ce délicieux swap londonien
Rendez-vous à Bagdad – Agatha Christie – 1951

PS : En relisant ce roman, je me suis demandée si Henri Carmichael n’avait pas inspiré, au moins en partie, le personnage de Ramsès dans les romans égyptologiques d’Elizabeth Peters – la description qui est faite de lui et de ses qualités correspond étonnament à celle qui est faite de Ramsès quand il devient agent de l’intelligence service au cours de la première guerre mondiale. Enfin je rêve peut être en couleur…

Les lectures du club avec une ville dans le titre:
La trilogie new yorkaine de Paul Auster pour Ofelia
Les mystères de Saint-Petersbourg de Christian Vila pour Choupynette
Tokyo de Mo Hayder pour Anjelica
La sorcière de Salem de Elizabeth Gaskell pour Bluegrey

Il me semble que Erzebeth, Alaure, Etoile des neiges, Flo et Freude ont sauté ce thème (je me trompe les filles ?)

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Harry Potter and the chamber of secrets

Je ne suis guère en avance et pour tout dire carrément en retard mais qui m’en tiendra rigueur en ces temps si froids et humides que nous vivons. Non que  quelques virus de petite tenue puissent pour l’instant se mesurer au seigneur des ténèbres en matière de noirs desseins mais enfin ils suffisent très grandement à nous désorganiser, l’avenir tranchera…
Alors qu’en est-il du deuxième tome des aventures de notre jeune sorcier de Poudlard ? Après un début d’été plutôt morne, Harry connaîtra tour à tour les abysses du désespoir et, pour la première fois, la chaleur de la vie de famille, avant de faire une rentrée fracassante (et en voiture volante) à Poudlard son vrai “chez lui”, rentrée qui sera à la hauteur de l’année à venir…
Ce deuxième tome marque une véritable évolution dans la vie de Harry et de ses deux plus proches amis, bien que cette remarque risque de devenir un tant soit peu redondante car c’est justement une chose que j’admire dans la série de Dame Rowling. Tout cela pour dire que j’ai trouvé l’évolution des personnages très crédible. Nos “seconde année” se considère déjà comme des vétérans, au point de ne  tout bonnement pas remarquer les plus jeunes, simple source de stress, mais sont toujours très loin de pouvoir considérer les adultes comme des personnes à part entière, ou du moins aptes à entendre une quelquonque confidence. Le silence est toujours de règle entre générations mais les personalités se dessinent, Dumbledore insondable mais aussi confiant, Macgonagall sévère mais maternelle, Rogue cruel mais complexe. Entre ces personnages récurrents, Lockhart apporte sa note à la fois comique et j’en ai peur réaliste (Ah Gilderoy, inoubliable Kenneth Branagh).
Pour le primo lecteur, c’est une intrigue bien menée dans un cadre enchanteur qui commence de surcroît à se ramifier de façon tout à fait satisfaisante, Harry découvre de nouveaux aspects de ses pouvoirs et se confronte avec ses premiers choix… Pour le relecteur, de multiples allusions résonnent de façon tout à fait nouvelle : Harry soupçonne parfois Rogue de lire dans ses pensée, (tss tss vraiment ?) l’aversion de quelques sang-pur envers les nés de moldus pour être  encore marginale s’exprime  déjà clairement (et sans trop de contestation finalement), la prise de position d’un jeune sorcier pour un elfe contre un de ses semblables présage d’autres alliances, et surtout surtout Harry découvre son très célèbre et incontournable expelliarmus.  Et de qui le tient-il ? J’avoue que je l’avais oublié et la réponse ne manque pas de sel… Enjoy !

Harry Potter and the Chamber of secrets – J. K. Rowling – 1999

Le billet  de Cachou qui tient les comptes et les liens de ce très magique challenge

PS. Je n’ai pas repéré d’étrangeté dans la traduction cette fois-ci (car je l’ai lu dans les deux langues encore une fois) ouf !
PPS. C’est quand même une sacré bonne série…

avec le premier tome, cela fait déjà deux….

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Mauvais sang

Difficile semaine pleine de futiles virus et de tristes fatigues, mais après tout c’est de saison… J’émerge suffisamment pour continuer mes dimanches avec mon très aimé Arthur (joli prénom Arthur).

(…)
Le sang païen revient ! L’Esprit est proche, pourquoi Christ ne m’aide-t-il pas, en donnant à mon âme noblesse et liberté. Hélas ! l’évangile a passé ! l’évangile ! L’évangile.
J’attends Dieu avec gourmandise. Je suis de race inférieure de toute éternité.
Me voici sur la plage armoricaine. Que les villes s’allument dans le soir. Ma journée est faite; je quitte l’Europe. L’air marin brûlera mes poumons; les climats perdus me tanneront. Nager, broyer l’herbe, chasser, fumer surtout; boire des liqueurs fortes comme du métal bouillant, – comme faisaient ces chers ancêtres autour des feux.
Je reviendrai, avec des membres de fer, la peau sombre, l’oeil furieux: sur mon masque, on me jugera d’une race forte. J’aurai de l’or : je serai oisif et brutal. Les femmes soignent ces féroces infirmes retour des pays chauds. Je serai mêlé aux affaires politiques. Sauvé.
Maintenant, je suis maudit, j’ai horreur de la patrie. Le meilleur, c’est un sommeil bien ivre, sur la grève.

(…)

Arthur Rimbaud
Une saison en enfer
1873

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Le buffet

J’étais à la recherche d’un de mes extraits favoris d’Une saison en enfer quand je suis tombée en feuilletant mon Arthur (dont je vous ai déjà parlé ici et ) sur ce poème qui me semble être tout à fait dans l’esprit d’un dimanche poétique (merci Celsmoon) avec un zeste de nostalgie et une bouffée d’effluve dominical…

C’est un large buffet sculpté ; le chêne sombre,
Très vieux, a pris cet air si bon des vieilles gens ;
Le buffet est ouvert, et verse dans son ombre
Comme un flot de vin vieux, des parfums engageants ;

Tout plein, c’est un fouillis de vieilles vieilleries,
De linges odorants et jaunes, de chiffons
De femmes ou d’enfants, de dentelles flétries,
De fichus de grand’mère où sont peints des griffons

– C’est là qu’on trouverait les médaillons, les mèches
De cheveux blancs ou blonds, les portraits, les fleurs sèches
Dont le parfum se mêle à des parfums de fruits.

– Ô buffet du vieux temps, tu sais bien des histoires,
Et tu voudrais conter tes contes, et tu bruis
Quand s’ouvrent lentement tes grandes portes noires.


Arthur Rimbaud
Poésies, 1870

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Question d’automne couleur plaquemine…

Pourquoi, mais pourquoi donc les kakis pourrissent-ils sur les arbres autour de chez moi quand je ne demande qu’à les dévorer ?

Le kaki ou plaquemine (diospyros kaki) originaire d’asie, est le fruit du plaqueminier. Après la chute des feuilles, les arbres restent couverts de ces superbes et gros fruits d’un bel orange. Il faut les laissé blettir quelques jours pour pouvoir leur dévorer le coeur à la petite cuillère.
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Doctor ? Doctor Who ?

Tadammm… Le doctor swap est à peine entré dans sa phase expédition que déjà la poste s’est montrée très gentille avec moi. Enfin gentille, ils sont passés quand je n’étais pas là et j’ai dû aller chercher mon paquet au diable vauvert mais enfin je l’ai eu ! Je considère donc avec bienveillance et magnanimité l’ensemble de la planète voire de la galaxie. Car pour un paquet c’est un paquet… Comment pouvait-il en être autrement me direz-vous sous l’égide du Docteur lui-même ? Je crois qu’il considérerait avec grande sympathie et intérêt un tel paquet concocté entièrement en son honneur et à mes goûts.
Au premier abord je me suis posé quelques questions devant cette énorme boite anonyme : était-ce bien mon swap ? D’où le petit côté un peu déchiré dans le coin (pas pu attendre d’être arrivé à la maison pour vérifier… et oui la chair est faible, j’avoue tout!)

Sous cet emballage aussi épais que peu coopératif, s’en dissimulait un autre, tout aussi impénétrable mais plus explicite… (je veux dire avec plein de petits docteurs dessus!)

A ce moment là j’ai dû aller chercher les ciseaux, puis, ceux-ci n’étant pas de taille, un couteau costaud et acéré parce que autant vous dire que ma swapeuse n’est pas chiche en scotch marron, pas chiche du tout. Certes j’avais mon tournevis sonique sur moi mais je le garde pour de plus spatiales occasions, de toutes façons rien ne pouvait m’arrêter et j’ai fini par vaincre la bête de haute lutte…

drdéballage3étonnant non ? Mais vous n’avez encore rien vu…
déballageJe me suis illico (et temporairement j’espère) transformée en Dudley Dursley et ai compté (à deux reprises) tous ces charmants petits paquets colorés, limite psychédéliques… Il y en avait vingt (20 et même XX) Oui vous avez bien lu vingt paquets qui s’étalaient plaisamement sur ma table de jardin. L’automne étant des plus doux, autant profiter du soleil. Vous remarquerez bien sûr la preuve absolue que ces paquets ont fait des envieux (une petite main baladeuse) mais je ne me suis pas laissé faire… ils étaient à moi ces paquets et je les ai déballés moi-même jusqu’aux derniers. Non mais !

déballage2Alors… Epatant n’est-il pas ? récapitulons :

Pour les nourritures de l’esprit
Trois romans de Dame Agatha en version originale, idéal pour mon challenge VO :
They do it with mirrors (Jeux de glaces in french)
Dead man’s Folly ( Poirot joue le jeu sauf erreur)
Murder on the orient express (le meurtre de l’orient express)
Deux romans “Doctor”
Revenge of the Judoon de Terence Dicks
I am a Dalek de Gareth Robert (Junior l’a regardé avec euh je ne sais pas, voracité est le mot qui me vient à l’esprit… il va peut être se mettre à l’anglais)
Hamlet du grand Will soi-même!
et une biographie de David Tennant (lui!), A Life in Time and Space de Nigel Goodall
Soit sept livres, oui vous savez compter (ma new pal est dans le trouge mais baste)
et avec cela les deux première saisons de True blood (yeah) que j’avais TRES envie de découvrir (des vampires, j’aime les vampires!)
Pour les provisions de voyage (j’attends le Tardis d’une minute à l’autre)
Trois boîtes de biscuits au chocolat McVities Original (so british, un peu entamés déjà les enfants m’ont vue déballer!)
Un sachet de sablés tendres des vendanges
Deux  tablettes de chocolat au lait (parce que je n’aime pas le noir)
Deux tablettes de chocolat blanc (parce que j’aime le blanc mais l’une est déjà défunte hélas)
Un paquet de pâte d’amande (entamé aussi j’en ai peur)
Deux sachets du Palais des thés pour faire glisser toutes ces bonnes choses, thé du hamman (délicious) et thé des enfants (que je ne connais pas encore mais j’en saliverais presque)
Pour les objets
Une miniature du grand cirque de Rome (qui a bien évidemment traversé le temps)
Deux badges faits main : Dalek et Tardis, que je porte en ce moment comme vous pouvez bien le penser.
et un magnifique Mug Torchwood (avec Jack dessus parfaitement)

A ce point du billet, je crois que vous sentez comme moi qu’il ne reste pas grand chose à dire si ce n’est merci, merci et encore merci à ma si gentille swapeuse, j’ai nommé Hydromielle, qui a su me gâter avec tant de goût.

Et merci, merci et encore merci à nos Gentilles Organisatrices fans du doctor (mais qu’elles ne comptent pas le garder pour elles seules, ha mais non!) les so glamourous Fashion et Karine qui nous ont donné l’occasion de  recevoir de si beaux cadeaux…

brilliant !
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