Les nouvelles de ce recueil esquissent les derniers soubressauts de la résistances autochtones à la colonisation européennes dans l’argentine du XIXe siècle, tout en décrivant l’éternel écart entre la visions masculine et la vision féminine des choses.
A priori cette oeuvre avait tout pour me plaire, un sujet passionant et méconnu, car très franchement l’histoire de l’Amérique du sud en général et de l’Argentine en particulier m’est une très grande inconnue, un style puissant et évocateur, une construction originale en contre point ou chaque témoignage vient en quelques sorte compléter et contredire le précédent.
Malheureusement malgré toutes les qualités du texte que je reconnais volontiers, il y a quelquechose qui m’a repoussée dans cette oeuvre et m’a empéchée d’aller au bout. Je me suis posé beaucoup de questions et je pense que plus que la construction particulière c’est l’étrangetré au sens propre du propos qui m’a rendu ces histoires hermétiques.
L’auteur part d’un contexte, d’une histoire qu’il présume certainement connus et y place des personnages désespérement incompréhensibles pour moi, tant dans leurs pensées que dans leurs actions, précidément sans doute parce que le contexte m’est inconnu. Dans une certaine mesure cela pourrait être voulu pour les indiens dont les espagnols ne savaient pas grand chose en arrivant, mais j’ai eu le même problème avec tous les protagonistes… Le traducteur a de temps à autres essayé d’éclairer certaines allusions par des notes mais cet effort même n’a fait que me rendre plus évidentes les références incompréhensibles. Je repose donc ce livre avec la désagréable impression d’être passée à côté !
Le plaisir de la captive – Leopoldo Brizuela – traduit de l’espagnol (argentine) par Bernard Tissier – 2002 – José Corti (2006)
A priori cette oeuvre avait tout pour me plaire, un sujet passionant et méconnu, car très franchement l’histoire de l’Amérique du sud en général et de l’Argentine en particulier m’est une très grande inconnue, un style puissant et évocateur, une construction originale en contre point ou chaque témoignage vient en quelques sorte compléter et contredire le précédent.
Malheureusement malgré toutes les qualités du texte que je reconnais volontiers, il y a quelquechose qui m’a repoussée dans cette oeuvre et m’a empéchée d’aller au bout. Je me suis posé beaucoup de questions et je pense que plus que la construction particulière c’est l’étrangetré au sens propre du propos qui m’a rendu ces histoires hermétiques.
L’auteur part d’un contexte, d’une histoire qu’il présume certainement connus et y place des personnages désespérement incompréhensibles pour moi, tant dans leurs pensées que dans leurs actions, précidément sans doute parce que le contexte m’est inconnu. Dans une certaine mesure cela pourrait être voulu pour les indiens dont les espagnols ne savaient pas grand chose en arrivant, mais j’ai eu le même problème avec tous les protagonistes… Le traducteur a de temps à autres essayé d’éclairer certaines allusions par des notes mais cet effort même n’a fait que me rendre plus évidentes les références incompréhensibles. Je repose donc ce livre avec la désagréable impression d’être passée à côté !
Le plaisir de la captive – Leopoldo Brizuela – traduit de l’espagnol (argentine) par Bernard Tissier – 2002 – José Corti (2006)
Cet ouvrage était la proposition de Le Bookomaton, Karine a aimé, Fashion et Hathaway moins, Doriane et Bladelor ont abandonné
Il part maintenant tenter sa chance chez Isil
Ah ben je l’attends de pied ferme. Moi aussi ça m’attire à priori mais je n’y connais rien non plus.
Bon Torchwood 😉
il arrive Isil 🙂
Torchwood c’était… grand !
Pas vraiment tentée par cette histoire. Bonne semaine Yueyin ! 🙂
gros bisous Florinette
Je crois que nous sommes nombreux à passer à côté de ce livre. Je verrai quand il arrivera chez moi.
Oui c’est dommage, peut être aura-t-il plus de chance avec toi 😉
La couverture, le titre, le sujet me tentent bcp mais ton billet me fait dire que je tombe trop souvent dans le piège ! Merci !
en même temps… on ne sait jamais 🙂
très bon billet, il m’a déjà tenté avec Bookomaton, il me tente encore grâce à ce que tu en dis, tu as confirmé cette envie de lecture, il ne me reste plus qu’à le trouver!!!
Tant mieux j’espère qu’il te plaira plus qu’à moi…
Bravo pour le billet : bel effort ;-))
Ah! la captive est de retour!!!
oui la voilà, elle ne s’est pas perdue en route heureusement pour elle, juste un petit retard de vacances 🙂
Je n’ai pas pu aller au bout…
Moi non plus comme tu vois…