Basho
Haiku zen
poème d’été
Joachim du Bellay
Heureux qui comme Ulysse
Paul Bergèse
Haiku d’un jour
Louise Angélique Bertin :
La mort et la vie
Aloysius Bertrand
Un rêve
Marc Bonnefoy
après l’école
José Luis Borges
Je suis
Michel Camus
Le silence
François Cheng
Poème (encore et toujours)
Poème…
Poème (toujours)
Poème (encore)
Chiyoni
Poèmes d’été
François Coppée
Décembre
Volupté des parfums ! Oui toute odeur est fée
Prisonnier d’un bureau, je connais le plaisir
Matin d’octobre
Dai Wangshu
Tristesse
Marceline Desbordes Valmore
Les séparés
L’amour
Le grillon
Rêve d’une femme
Soir d’été
Un moment
Les murs
Caen
A tort ou à raison
Mare Nostrum
Georges Fourest
Le cid
Pseudo sonnet pessimiste et objurgatoire
Un homme
Théophile Gauthier
Chanson d’automne
Robert Gélis
Si mon stylo
José maria de Hérédia
Les conquérants
Victor Hugo
Conscience
Le temps des contes
Le printemps
Pour faire le portrait d’un oiseau
Jean Richepin
Epitaphe pour n’importe qui
Les oiseaux de passage
Déclaration
Rainer Maria Rilke
Après une journée de vent
Arthur Rimbaud :
Le bateau ivre (extrait)
Voyelles
L’éternité
Mauvais sang
Le buffet
Pierre de Ronsard
Je n’ai plus que les os
Ryokan
Poèmes d’été
Haiku pour la nouvelle année
Yoko Sugawa
Bientôt le 6 juin
Affaire Rimbaud
Exil sur planète fantôme
Thou Fou
Le temple
Verlaine
Il pleure dans mon coeur
Il faut nous pardonner les choses
Art poétique
L’heure du berger
La bise de rue
Boris Vian
Précisions sur la vie
Je mourrai d’un cancer de la colonne vertébrale
en lisant toutes ces références, je ne peux m’empêcher de vous demander si vous connaissez Dai Wangshu, un poète chinois de la première moitié du XXème siècle…
le poème suivant me semble avoir été écrit pour un certain Corto Maltese (qui sait, peut-être se sont-ils connus?)
Tristesse
Mélancolie de l’automne solitaire
Et regrets des mers lointaines…
Quand on me demande la cause de ma tristesse
Je n’ose prononcer ton nom
Je n’ose prononcer ton nom
Quand on me demande la cause de ma tristesse:
Regrets des mers lointaines
Et mélancolie
Je ne connaissais pas le poète mais je pense comme toi que Corto Maltese a dû le rencontrer voire l’inspirer 🙂
J’aime beaucoup ce poème, puis je l’emprunter pour le publier dans les pages de blog ?
oui, oui, bien sûr… je ne possède pas les droits, mais je te les donne quand même!!
c’est tiré de son recueil Poèmes en herbe, paru en 1933…
content que ça t’ai plu!
Merci Sébastien